Beat Pharmacy : drifter (remix)
SFERRO
DEASTRO
EAT SKULL
La voix de Pink, dont je regrette beaucoup de ne pas bien comprendre les textes, passe de la narration parlé à des envolées lyriques qui déraillent (il ne chante pas très bien c'est clair), traversées de cris venus du métal le plus sombre et prolongés en réverbes psychédéliques. Ce sont, malgré tout, les moments où il passe en mode Barry Gibb/Bee Gees ou bien lorsqu'il sifflotte les mélodies ou quand il les sussure façon Nick Cave/Jarvis Cocker que la joie est grande pour nous. Ce qui fonctionne c'est la possibilité qu'à ce corps en scène de traverser ces registres. C'est leur survenue possible et alternative dans la même chanson qui en fait le prix.
Imi Knoebel, kreuz und quer 8, 2007, acrylic sur alu, 209 x 150 x 13 cm
Hans Hoffman, Calliope (muse of epic poetry), 1963
Clément Rodzielski, 2008
Bettina Samson aux modules du Palais de Tokyo (détail) 2009
Richard Tuttle, installation
Charlotte Thrane, Collage
Richard Tuttle, rules 2, 2004, 8 elements (Karton, Seidenpapier, Tape, Farbe, Lack masse variable)
Hans Schabus à la Barbican Gallery de Londres
Gedi Sibony, An Integrated Variety of Material Components, 2004
Michael Krebber, sans titre, 2004, acrylic sur toile